Louis Schweitzer, président de la LFDA, et Nikita Bachelard, chargée d’affaires publiques au sein de la Fondation, cosignent un article intitulé Méthodes alternatives à l’expérimentation animale : un besoin de financement et de diffusion dans la revue scientifique Biologie Aujourd’hui de la Société de Biologie
Dans cet article, les auteurs font un tour d’horizon de l’état du développement et de la diffusion des méthodes alternatives à l’utilisation d’animaux pour la recherche, l’enseignement et les tests de toxicité des produits. Ils notent que « dans ce domaine, la France fait figure de mauvais élève » malgré les enjeux éthiques.
Le développement de ces méthodes est soutenu par l’opinion publique française et européenne, qui s’oppose globalement à l’expérimentation animale lorsque d’autres méthodes existent. Cependant, les méthodes alternatives sont encore insuffisantes. Pour réduire drastiquement le nombre d’animaux utilisés à des fins scientifiques, des financements importants sont nécessaires. […] Le financement et la diffusion des méthodes doivent se poursuivre et s’accentuer.
Extrait de l’abstract
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