Le média indépendant consacre un article sur la réforme sur le bien-être des animaux d’élevage annoncée par la Commission européenne, dont il attribue l’échec aux pressions des défenseurs de l’élevage intensif.
Le journal fait notamment le bilan de la concertation organisée par le ministère de l’Agriculture entre toutes les parties prenantes, destinée à orienter la position de la France sur ce dossier. Pour en savoir plus, Basta! a notamment interrogé Nikita Bachelard, chargée d’affaires publiques à la LFDA.
« 70 participants en visio, ce n’était pas simple, rapporte Nikita Bachelard, chargée d’affaires publiques à la Fondation droit animal, éthique et sciences (LFDA). On avait la possibilité de réagir dans “le chat”, mais pas de s’étendre et d’avoir de vraies discussions. »
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Ce reportage met également en exergue les arguments mobilisés par les filières professionnelles pour ralentir les avancées en matière d’élevage et de transport, malgré les connaissances scientifiques sur les besoins fondamentaux des animaux.
Nikita Bachelard déplore de son côté une solution de facilité : « Au lieu de revoir fondamentalement le modèle d’élevage, on opte pour davantage d’études, à la recherche d’une solution miracle, alors que les données scientifiques sont depuis longtemps à notre disposition. »
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