La LFDA publie la revue trimestrielle Droit Animal, Éthique & Sciences (ISSN 2116-2743) depuis 1991. Elle traite des actualités dans le domaine de la protection animale et propose des articles de fond permettant de mieux comprendre les enjeux de la condition animale.
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À la fin du mois d’avril, le ministère de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation a publié les statistiques sur l’utilisation des animaux à des fins scientifiques en France.
Élaboré par 145 experts issus de 50 pays au cours des trois dernières années, avec des contributions additionnelles apportées par 310 autres experts, le rapport évalue les changements au cours des cinq dernières décennies et fournit un aperçu complet de la relation entre les trajectoires de développement économique et leurs impacts sur la nature. Le document propose également un éventail de scénarios possibles pour les décennies à venir.
Fin février a été publié le premier rapport mondial sur l’état de la biodiversité liée à notre alimentation et notre agriculture (BAA) par l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), agence spécialisée des Nations unies (ONU).
Un sondage eurobaromètre publié en mai 2019 a porté sur la connaissance et la compréhension qu’ont les européens de la biodiversité. Les mêmes questions avaient été posées en 2015 et il est intéressant de constater qu’en 4 ans, la connaissance et la compréhension qu’ont les européens du concept de « biodiversité » se sont améliorées. Plusieurs thématiques ont été couvertes.
L’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), présidé par le sénateur Gérard Longuet et vice-présidé par le député Cédric Villani, lauréat de la Médaille Fields, a rendu public un rapport intitulé « L’utilisation des animaux en recherche et les alternatives à l’expérimentation animale : état des lieux et perspectives ».
Certains le connaissent déjà très bien et l’emploient depuis longtemps, d’autres en découvrent le sens et se demandent encore comment le prononcer, pour d’autres enfin son existence en français est discutable et inutile, le mot sentience a fait couler beaucoup d’encre avant d’entrer dans le Larousse 2020, à croire que les enjeux qui se cachaient derrière ce mot étaient bien plus grands qu’on ne le pense au premier abord.
L’Europe des animaux est paru peu de temps avant les élections européennes du 26 mai dernier, et ce n’est pas un hasard. En effet, cet ouvrage se veut une ode à l’Union européenne (UE) en tant que législateur sur la protection des animaux. Il souligne toutefois les limites et les manquements de l’UE en la matière, et fait aussi la part belle à l’échelon national.
Depuis le mois de septembre 2018, la Fondation Droit Animal, Éthique et Sciences communique sur l’initiative citoyenne européenne (ICE) lancée par Compassion in World Farming pour mettre fin à l’élevage en cage. Dans ce numéro – le dernier avant la fin de l’ICE en septembre prochain – nous souhaitons rappeler quelles espèces animales d’élevage autres que les lapins et les cailles sont élevées en cage dans l’Union européenne (UE), et l’importance de se mobiliser pour que cela cesse.
L’offre mondiale d’animaux issus de la pêche et de l’aquaculture vient de dépasser les 20kg /an/habitant, dont plus de la moitié proviendrait aujourd’hui de l’aquaculture. Cette activité nécessite cependant l’intervention de compétences vétérinaires afin de maîtriser les risques sanitaires. L‘enseignement vétérinaire, en Europe et en France, tend à prendre en compte le développement de l’aquaculture dans le monde. Ainsi, les étudiants sont aujourd’hui sensibilisés à l’aquaculture, aux rôles du vétérinaire dans ce secteur, aux pathologies spécifiques, aux problématiques associées à l’aquaculture, à la durabilité des élevages et au bien-être des poissons.
Les dispositifs permettant aux éleveurs français de bénéficier d’aides à la mise en place de mesures de protection de leurs troupeaux contre le risque de prédation résultent essentiellement de la stratégie mise en place par l’Union européenne (UE).