Pourra-t-on éradiquer la souffrance par l’éthique scientifique, par l’éthique juridique, cette façon de se comporter, critère essentiel des Droits de l’Animal si complémentaires des Droits de l’Homme ? Une codification s’impose.
L’impact de l’éducation des jeunes par rapport au respect des autres espèces est fondamental ; l’enfant avec ses jouets développera un certain mode de relation aux « autres », comme l’adolescent, à partir des jeux, acceptera et intériorisera un certain nombre de règles nécessaires à toute intégration sociale.
De très nombreuses recherches et publications de psychologie, de psychopathologie, de sociologie, d’éthologie, de criminologie, montrent que les comportements violents chez l’adulte sur les personnes trouvent souvent leurs racines dans les traumatismes physiques ou affectifs durant l’enfance.
De caractère essentiellement juridique, il expose les grandes lignes de notre législation. Les références aux textes législatifs, le rappel des jurisprudences de principe et surtout la bibliographie, devraient permettre de trouver rapidement les éléments complémentaires.
L’ASPAS et le RAC proposent une nouvelle brochure couleur de 64 pages démontrant en quoi ce classement des mal-aimés en « nuisibles » ne repose sur aucune justification scientifique ni écologique
La science a amplement montré que la douleur existe dans beaucoup de groupes animaux, où elle vient compléter les mécanismes nociceptifs dont on vient de parler.
C’est la corrida qui est de ces jeux ou spectacles sanglants et cruels le plus spectaculaire, le plus organisé, le plus médiatisé, le plus symbolique et le plus significatif d’une intention sous-jacente politique.
L’ouvrage Le droit de l’animal était souhaité depuis longtemps par tous ceux qui, pour des raisons diverses, étaient amenés à faire un travail sur la condition animale.
Les animaux, dans toutes les formes de leurs utilisations, sont une composante essentielle de notre vie quotidienne. Ils nous nourrissent avec leur chair, avec leur lait, avec leurs œufs; nous nous soignons au prix de leurs souffrances; beaucoup accompagnent nos solitudes, beaucoup aussi sont encore sacrifiés à nos amusements.