- La revue trimestrielle Sciences Enjeux Santé N° 72 1er trimestre 2014 de l’association Proanima fait référence à deux articles déjà publiés dans la revue Droit animal, éthique et sciences n°80 de janvier 2014.
Ce numéro de la revue de Proanima mentionne d’abord, dans un article consacré à la dissection en classe, un extrait de l’article de Jean-Claude Nouët, président d’honneur de la LFDA, intitulé « Dissections d’animaux dans l’enseignement secondaire ».
[…] »un article de la revue Droit Animal Éthique et Sciences ( n°80 pp. 24-25) nous confirme que la mise en application de la directive 210/63/UE relative à la protection des animaux utilisés à des fins scientifiques et retranscrite en droit français l’année dernière encourage la fin des dissections d’animaux dans l’enseignement…
Cette directive met un terme à certaines imprécisions concernant la « nécessaire » mise à mort (ou non) de l’animal dans le simple but de réaliser ces expériences. Des ambigüités qui laissaient jusqu’à présent le champ libre aux dissections dans l’enseignement secondaire. Aujourd’hui le ministère de l’Agriculture rappelle la réglementation au cabinet du ministre de l’éducation en ces termes: « Les travaux pratiques utilisant des vertébrés (souris, grenouilles) même morts sont réservés au seul domaine de l’enseignement supérieur et de l’enseignement professionnel ». Des courriers envoyés par le ministère aux recteurs d’Académie complètent ainsi: « s’agissant des alternatives pédagogiques, les travaux pratiques peuvent être réalisés sur des sous produits animaux issus d’animaux sains ou sur des denrées alimentaires [] ou par l’intermédiaire de supports vidéo. »
L’auteur de l’article rappelle à juste titre la nécessité réglementaire d’utiliser les méthodes de remplacement dès lors qu’elles existent et qu’elles apportent un niveau d’information équivalent. […] La LFDA a travaillé activement et depuis de nombreuses années (décennies) à la disparition des dissections dans l’enseignement secondaire. »[…]
Ce même numéro de Sciences, Enjeux, Santé, sous le titre « Animal: meuble ou meuble? » publie aussi un extrait d’un article de Thierry Auffret van der Kemp, Jean-Claude Nouët et Jean-Marc Neumann (respectivement directeur, président d’honneur et vice-président de la LFDA), sous le titre « Vérités sur le régime juridique de l’animal en France et les actions de la LFDA en faveur de son évolution ».
» Un article très complet (Droit Animal Éthique et Sciences, n°80 pp.4-8) […] qui fait le point sur la notion d’animal considéré comme un bien meuble » et ce qui peut-être considéré comme un contresens fait fréquemment par nombre d’entre nous. Les auteurs rappellent que: « s’il est vrai que l’animal dans le code civil est placé dans la catégorie des biens […]le code civil n’assimile pas pour autant l ‘animal à un meuble […] au même titre qu’une chaise contrairement à ce qu’affirment nombre d’organisations de protection animale en France […]le mot meuble est ici employé […] comme un adjectif qualificatif synonyme de mobile, tout comme lorsqu’il est employé par exemple dans des expressions géologiques « terrain meuble », « sol meuble ». Un bien meuble n’est donc pas synonyme d’un meuble, au sens d’une pièce de mobilier, telle une chaise par exemple ».
L’animal est donc considéré comme un bien dans la mesure où il a un propriétaire mais un bien mobile, qui se déplace. Nous vous invitons à lire la revue extrêmement pointue de la Fondation LFDA, pionnière en matière d’actions en faveur d’un régime juridique plus favorable aux animaux. Vous pouvez demander un exemplaire à la LFDA. »
- Dans le mensuel Cheval Magazine d’août 2013, Vincent Lasseret, son rédacteur en Chef dans son éditorial « Cheval de bataille » fait référence au billet du président du n°78 de juillet 2013 de la revue de la LFDA, Droit animal, éthique et sciences.
[…] « Le statut de l’animal, et donc la place que celui-ci occupe, fait aujourd’hui partie des réflexions et des préoccupations de la société française et de ses responsables politiques. L’année dernière, et bien que ses travaux n’aient malheureusement pas pu aboutir le conseil économique, social et environnemental (CESE) avait ouvert une réflexion sur la nécessité d’accorder un statut particulier à l’animal. Encore plus près de nous, on apprend dans le bulletin de juillet de La Fondation Droit Animal, éthique et sciences que le ministère de l’Agriculture conduit actuellement – par l’intermédiaire d’une stagiaire, certes, mais avec son assentiment – une étude sur l’évaluation du statut de l’animal dans les codes civil et rural français.
En ce XXI e siècle, que certains décrivent si sombre, on peut se réjouir de l’évolution favorable du regard que porte la société française sur l’animal, son bien-être et sa protection ». […]
- Dans l’hebdomadaire Figaro Madame du 6 juillet 2013, la philosophe Corrine Pelluchon consacre sa chronique « Pause Philo » à « Être humain avec l’animal » et y incite à lire comme référence Droit animal, éthique et sciences, la revue de la LFDA.
- Les numéros de février 2013 et de février 2014 du mensuel La voix des Bêtes, organe officiel de la Fondation assistance aux animaux, reproduisent en éditorial, deux articles de Jean-Claude Nouët, président d’honneur de la LFDA, intitulés « Abattage et étiquetage » et « Chien et maître, droits et devoirs » déjà publiés respectivement en page 19 de la revue Droit animal, éthique et sciences n°76 de janvier 2013 et en pages 13-14 du N° 79 d’octobre 2013
- Le trimestriel Animal Attitude de janvier/mars 2013, résume dans sa brève « Bio: peut mieux faire », l’article de Sabine Brels « Les limites de la réglementation « bio » en matière de protection du bien-être animal, publiée page 6 de la revue de la LFDA n°75, octobre 2012.
« Les tests sur animaux seront interdits en Europe le 11 mars 2013 pour tous les cosmétiques, bio ou non. La castration des porcs sans anesthésie sera interdite en 2018. Les cases de gestation des truies sont interdites au 1er janvier 2013. Il appartient à tous d’être vigilant sur l’application des textes sur le bien-être animal. Les produits bio sont généralement garants d’un plus grand respect mais ils peuvent encore mieux faire…Sans compter des aménagements particuliers de la certification bio comme « les steaks halal bio » ou des modifications de la charte sur les tests animaux pour les exportations vers la Chine de produits cosmétiques bio… »
Le tri-hebdomadaire Gazette du Palais du 19/23 mai 2013 publie dans sa page « actualité » à la rubrique « l’extrait de la semaine », une citation tirée d’un article de Jean-Marc Neumann, vice-président de la LFDA, paru page 8 de la revue Droit animal éthique et sciences, n°77 d’avril 2013.
» La LFDA est convaincue que tôt ou tard, spontanément ou sous la pression des étudiants, le droit animal sera enseigné en France ».
- Le tri-hebdomadaire Gazette du Palais du 16/17 janvier 2013 publie dans sa page « actualité » à la rubrique « l’extrait de la semaine », plusieurs passages significatifs de l’article » Réflexion sur une condamnation » de Thierry Auffret van der Kemp, directeur de la LFDA, déjà paru en page 8 de la revue Droit animal éthique et sciences n°76 de janvier 2013 (téléchargeable à la rubrique « Publications et Conférences/revue trimestrielle » de ce site.
Cet article commente le jugement rendu par le tribunal correctionnel de Boulogne condamnant à quatre mois de prison ferme, deux mois avec sursis, et trois mois de mise à l’épreuve et interdiction de détenir un animal pendant un an, un calaisien alcoolique qui avait frappé à mort le chiot de sa femme, envers laquelle il se montrait aussi parfois violent. L’article apporte notamment l’interprétation suivante sur les fondements de ce jugement:
» Il découle à l’évidence des argumentaires à charge comme à défense que ce n’est pas la mise à mort sans nécessité de l’animal, ni les souffrances qu’il a endurées au cours d’une heure d’agonie, qui ont été véritablement prises en compte. C’est la violence que l’homme exerçait régulièrement sur sa femme et celle exercée sur le chiot, mais seulement en tant que cause de violences morales pour sa femme et potentielles prémices d’un éventuel acte de violence physique sur elle qui ont finalement été retenues. Cette considération est d’ailleurs parfaitement légitime car de nombreuses études scientifiques montrent que les violences exercées sur les animaux dans le cadre domestique, constituent pour reprendre l’expression du Professeur Jean-Claude Nouët, président d’honneur de la LFDA , des « sentinelles » d’actes de violence sur femme ou enfants vivant au foyer »]…
- Les numéros de novembre et de juillet 2012 du mensuel La voix des Bêtes organe officiel de la Fondation assistance aux animaux, reproduisent respectivement en éditorial, un article de Suzanne Antoine, secrétaire générale de la fondation LFDA, intitulé « Chiens à la mode » repris sous le titre « Les animaux de compagnie un marché lucratif », déjà publié en pages 14 et 15 de la revue Droit animal éthique et sciences n° 73 d’avril 2012 et un article de Jean-Claude Nouët, président d’honneur de la LFDA, intitulé « Un décret et un arrêté iniques », déjà publié en page 7 de la revue Droit animal éthique et sciences n°72 de janvier 2012 et, dans la rubrique actualité, l’article de Jean-Claude Nouët, intitulé « Pandas et imposture des zoos », déjà publié en pages 21-22 de la revue Droit animal éthique et sciences n°73 d’avril 2012. Cette revue est consultable en ligne à la rubrique « Documentation/ Revue trimestrielle » de ce site.
- Le mensuel La Tortue n°90 de février 2012 fait état de deux articles publiés dans la revue de la LFDA de janvier 2012.
» La dernière revue de la LFDA « Droit animal, Ethique et Sciences, dirigée par Jean-Claude Nouët, annonce le lancement du premier master exclusivement consacré au droit animal, 0 l’Université Lewis et Clark de Portland, dans l’Oregon, aux Etats Unis. Le droit animal n’est reconnu que depuis quelques années, et ne donnait lieu à ce jour qu’à des cours dans certaines universités comme à Ottawa, Montréal, Sydney, Melbourne, Adelaïde, ou Canberra. En Europe, seuls le Royaume-Uni et la Catalogne en Espagne envisagent de créer des masters « droit animal et société ». En France, bien entendu, il faudra encore quelques années avant que de tels cours soient donnés, et de tels diplômes reconnus.
Dans cette même revue de janvier 2012, Jean-Claude Nouët informe également sur la tenue les 18 et 19 octobre à Paris, d’un colloque international sur « La souffrance animale: de la science au droit (la reconnaissance scientifique de la sensibilité animale et sa transposition juridique) » qui naturellement est d’une grande importance. Si vous souhaitez être informé des travaux de cette Fondation, vous pouvez vous informer ou la contacter par www.fondation-droit-animal.org et contact@fondation-droit-animal.org. »
- La revue mensuelle Vivre en harmonie de janvier 2012 , Jean-Louis Schmitt dans la rubrique Point de vue, à l’occasion de l’entrée en application de la nouvelle directive européenne pour la protection des poules pondeuses, fait état de l’infernal quotidien des poules pondeuses élevées en batterie et conclut en interrogeant Jean-Claude Nouët , Président de la LFDA et rédacteur en chef de la revue Droit animal , éthique et sciences.
[…] « Totalement déshumanisé, le système de l’élevage intensif est particulièrement immoral et réellement cruel, une barbarie d’autant plus révoltante qu’elle semble unanimement acceptée comme légitime et parfaitement naturelle. Alors oui: comment en sommes nous arrivés à un tel point d’ignominie et d’absence de toute commisération? Jean-Claude Nouët nous éclaire quelque peu à ce sujet: » Dès qu’il a pu prendre conscience de ce qui le distinguait des animaux, l’homme-et cela remonte probablement à la préhistoire-a creusé un fossé. Il a traduit ces différences en hiérarchie, et par une sorte de nombrilisme, s’est placé au centre d’un monde fait à son usage.
L’anthropocentrisme doit donc être tenu comme racine du mal et pour responsable actuel du statut de l’animal. Mais la surenchère que montre notre époque fait penser qu’un autre facteur est venu en multiplier les effets: je veux parler de la recherche du profit. A l’immoralité du mépris de la vie s’est ajoutée l’immoralité de la cupidité. »
- De son côté, Les Chroniques d’Informations pour la défense des Animaux et de l’environnement, établissent, à l’occasion de la parution de la revue de la LFDA N°71 d’octobre 2011, une critique fort élogieuse de cette publication.
« Au fil des années cette revue est devenue complètement incontournable pour quiconque s’intéresse à la condition animale. Tous les trois mois, elle propose un panorama complet des nouvelles en matière de sciences, de littérature, de découvertes naturalistes et de protection des animaux. La présentation est sobre mais claire, et les articles illustrés par de superbes dessins. De nombreuses colonnes reviennent sur le scandale des algues vertes en Bretagne, sur la surpêche, sur les propositions de loi contre la chasse à courre et la corrida en France ou encore l’abattage rituel en Hollande. D’autres font le point sur le loup en France, sur l’ours, les grands tétras et les vautours dans les Pyrénées. Des articles rappellent les textes de loi contre le dépeçage d’anguilles vivantes sur les marchés, critiquent les aquariums et les delphinariums, ou encore les publicités pour les zoos que font régulièrement les médias. D’autre part, on trouve dans la revue de très longues chroniques de livres ayant trait aux animaux ‘ »Toréer sans la mort », « L’homme contre le loup », « La libellule et le philosophe », « Les poissons sont indomptables ».En page centrale, un feuillet regroupe tous les nouveaux arrêtés ministériels concernant la nature ou les animaux. De toute évidence, nous avons à faire à une équipe motivée qui rend là un travail vraiment exhaustif! «