CP: Le foie gras: une gourmandise au prix de la souffrance
La LFDA propose un livret informatif pour expliquer au consommateur la production de foie gras et lui permettre de faire un choix éclairé.
La LFDA propose un livret informatif pour expliquer au consommateur la production de foie gras et lui permettre de faire un choix éclairé.
8 ONG de protection animale s’insurgent contre un courrier du ministère de l’Agriculture qui annonce un recul sur l’élevage des poules pondeuses en cage.
La Fondation Droit Animal, Éthique et Sciences (LFDA) a participé à la concertation sur les animaux sauvages captifs organisée par le ministère de la Transition écologique et solidaire entre avril et juillet 2019. Cette concertation concernait quatre sujets : les animaux sauvages dans les cirques,
les delphinariums,
les parcs zoologiques,
les visons élevés pour la production de fourrure.
Voilà un an que nous parlons dans cette revue de l’initiative citoyenne européenne (ICE) pour mettre fin à l’élevage des animaux en cage. L’ICE est arrivée à son terme le 11 septembre dernier, ce qui signifie que le temps imparti pour la signer est écoulé. Excellente nouvelle : nous avons atteint 1,6 million de signatures !
La détention d’ours en captivité est autorisée en France, dans les zoos évidemment, dans les cirques également, mais aussi par des « montreurs d’ours », c’est-à-dire des dresseurs qui se promènent de commune en commune, souvent à l’occasion de fêtes « médiévales », pour produire un ours en spectacle. Pourtant, nous ne sommes plus au Moyen-Âge !
L’information a fait grand bruit en plein milieu de l’été : le gouvernement japonais a autorisé un projet d’étude visant à développer un pancréas humain dans le corps de rongeurs. Le but de cette expérience serait d’avancer vers la possibilité, à terme, d’utiliser des organes humains produits par des animaux pour des personnes en attente de greffe. Ce genre d’expérience débouche sur ce que l’on appelle communément des chimères animal-humain
Alors qu’un rendez-vous vient d’être repoussé par le ministère de l’Agriculture, les ONG demandent au ministre de travailler avec elles sur le bien-être animal pour répondre aux attentes sociétales.
À la fin du mois d’avril, le ministère de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation a publié les statistiques sur l’utilisation des animaux à des fins scientifiques en France.
L’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), présidé par le sénateur Gérard Longuet et vice-présidé par le député Cédric Villani, lauréat de la Médaille Fields, a rendu public un rapport intitulé « L’utilisation des animaux en recherche et les alternatives à l’expérimentation animale : état des lieux et perspectives ».
L’Europe des animaux est paru peu de temps avant les élections européennes du 26 mai dernier, et ce n’est pas un hasard. En effet, cet ouvrage se veut une ode à l’Union européenne (UE) en tant que législateur sur la protection des animaux. Il souligne toutefois les limites et les manquements de l’UE en la matière, et fait aussi la part belle à l’échelon national.