À la suite des interventions répétées de la LFDA auprès du ministère de l’éducation nationale, la Direction de la programmation a inclus la protection de l’animal dans le programme d’éducation civique, en reprenant plusieurs des propositions figurant dans le dossier « Animal et École ».
La LFDA lance et coordonne la campagne « Nîmes, Ville de sang », fait réaliser l’affiche, et obtient que la Ville de Nîmes renonce à subventionner une école de toreros.
Elle organise à l’Institut de France le Colloque « Violence et droits de l’Animal ».
Le Prix Alfred Kastler est attribué pour la première fois.
La LFDA est nommée par arrêté ministériel membre du Comité consultatif de la santé et des protections animales, nomination renouvelée depuis cette date.
La LFDA est reconnue d’Utilité publique; elle est membre d’une commission au ministère de l’environnement chargée des zoos.
La LFDA, l’OABA et la Coalition des Consommateurs contre l’Élevage en Batterie, (qu’elles ont fondée en 1982) obtiennent la modification du règlement européen sur l’étiquetage des œufs, autorisant la mention du mode d’élevage des poules, afin que le consommateur puisse choisir les œufs issus de poules non élevées en cage.