La LFDA met en place une commission composée de juristes, de philosophes et des scientifiques, chargée d’étudier les modifications à apporter au Code civil et au Code pénal propres à distinguer l’animal de la chose, et à rédiger une proposition de loi.
Parallèlement, elle étudie la modification de la loi de 1976 sur la protection de la nature, afin d’y faire reconnaître la nature « d’être sensible » de l’animal sauvage.
Elle organise une table ronde sur le thème de la « sensibilisation des étudiants vétérinaires à la protection de l’animal ».
La LFDA fait l’acquisition du local qui sera son siège, rue Claude Bernard