Avec l’éditeur Arléa-Corlet, la LFDA publie l’ouvrage « Les droits de l’animal aujourd’hui », qui regroupe les principaux textes publiés à ce sujet dans les dix dernières années.
Elle participe à des colloques (Metz, Montpellier, Béziers, Paris).
Le projet de loi du ministre de l’agriculture intégrant la modification du Code civil est accepté par le Conseil des ministres; la dissolution de l’Assemblée nationale empêche le vote de la loi.
La LFDA intervient à nouveau auprès du nouveau ministre de l’environnement au sujet du statut de l’animal sauvage.
Elle exerce un recours devant le Conseil d’État en vue d’annuler le décret conférant la Légion d’honneur à un torero espagnol.
Avec le ROC et la Fondation 30 millions d’amis, la LFDA lance une campagne « Pour les éléphants ».
La LFDA refuse que la « Formation spéciale à l’expérimentation animale » auquel elle participe et qu’elle finance partiellement devienne un enseignement technique à l’expérimentation, comme le veut le ministère de l’agriculture; la Commission nationale de l’expérimentation animale met fin à cette formation, au motif qu’elle ne comporte pas de travaux pratiques.
La LFDA intervient auprès de professionnels de la mode, et diffuse un document sur la barbarie des moyens d’abattage des animaux à fourrure.